Le blog de cul
Vu sur l'excellent site Revebebe, je vous conseille cette belle histoire.
Extrait :
"J’introduis un doigt dans sa caverne trempée, et lui imprime un timide mouvement de piston. Le souffle de mon Esméralda raccourcit, sa respiration se fait sifflante, ses doigts se crispent désespérément sur la couette. J’accélère la cadence. De brèves contractions commencent à agiter son ventre, accompagnées de mouvements saccadés du bassin. Je lui relève les cuisses en les écartant au mieux, ses genoux touchant presque les épaules. Un second doigt puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je pistonne de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma langue, mes lèvres et mes dents s’acharnent sur le fruit épanoui. Des tremblements incontrôlés viennent courir sous la peau des cuisses.
Leur étau se referme soudain sur moi. Un flot m’inonde le visage, puis Hélène s’arc-boute, en émettant une longue plainte rauque. Elle jouit avec fureur. La fureur de jouir. Elle reste ainsi tétanisée durant cinq bonnes secondes puis se relâche comme une poupée de chiffon, vidée par le plaisir. Vidée ? Inacceptable ! Je suis dur comme un citoyen de la forêt d’Anduze et, comme on le dit peut-être là-bas, quand le bambou se dresse, la raison s’affaisse. Mes vêtements volent sur la moquette. Je ne suis plus qu’un désir à l’état brut."
La belle Hélène.
Extrait :
"J’introduis un doigt dans sa caverne trempée, et lui imprime un timide mouvement de piston. Le souffle de mon Esméralda raccourcit, sa respiration se fait sifflante, ses doigts se crispent désespérément sur la couette. J’accélère la cadence. De brèves contractions commencent à agiter son ventre, accompagnées de mouvements saccadés du bassin. Je lui relève les cuisses en les écartant au mieux, ses genoux touchant presque les épaules. Un second doigt puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je pistonne de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ma langue, mes lèvres et mes dents s’acharnent sur le fruit épanoui. Des tremblements incontrôlés viennent courir sous la peau des cuisses.
Leur étau se referme soudain sur moi. Un flot m’inonde le visage, puis Hélène s’arc-boute, en émettant une longue plainte rauque. Elle jouit avec fureur. La fureur de jouir. Elle reste ainsi tétanisée durant cinq bonnes secondes puis se relâche comme une poupée de chiffon, vidée par le plaisir. Vidée ? Inacceptable ! Je suis dur comme un citoyen de la forêt d’Anduze et, comme on le dit peut-être là-bas, quand le bambou se dresse, la raison s’affaisse. Mes vêtements volent sur la moquette. Je ne suis plus qu’un désir à l’état brut."
La belle Hélène.
Mar 9 jun 2009
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